<br /> Cher Michel,<br /> Concocté en jardinant…Les écrits et la vie !<br /> Vous ne sauriez évaluer à quel point vos écrits de ci de là, empreints d’une culture si élargie (à laquelle on aspire) et de benevolentia, peuvent avoir un effet apaisant, source limpide, soutien<br /> moral, en quelque sorte, hors prozac, même si je dois avouer n’avoir pas encore entamé la lecture de théologie buissonnière 2 : je compte bien me procurer d’autres ouvrages. Notez bien que la<br /> flatterie n’est point mon fort… Que de commentaires velléitairement reportés, dolorisme, christianisme(s), etc ! Donner du temps au temps…<br /> Pour l’heure, certain « post (?) » récent, sur Golias m’a déterminé à réagir, sans rougir, à mes risques et périls : que pensez-vous qu’il arriva ? Je dus me rendre à l’évidence que, quaecum ita<br /> sint, « censurer » passait bien plus facilement à l’actif que « exposer » ne passait au passif, impunément, sans autre forme de procès, ceci en toute incongruité ! Coin de voile impudemment soulevé<br /> à son tour, à n’en point douter… Il suffit d’adapter la voilure, au gré des circontances. Le fait du prince. J’ai tenté de rattraper par ailleurs, recourant à la méthode par vous préconisée :<br /> advienne que pourra !<br /> Espérant ne point vous mettre dans l’embarras et que la censure ne sévisse pas chez vous aussi, ce qui serait un comble, je ne saurais trop vous remercier de votre perspicacité peu commune.<br /> Très amicalement.<br /> Henri.<br /> <br /> <br />

<br /> Bonsoir Michel.<br /> Pertinent, ici aussi, à ce qu'il semblerait.<br /> Si je disais moraliste bienveillant, quoique..., je ne suis pas certain que je ne vous vexerais point, mais c'est dit, tant pis.<br /> Bien amicalement.<br /> Henri.<br /> <br /> <br />