Il en est une qu’on vient de remarquer : celle qui suit le mariage pour l’épousée, le weeding blues, dont parle le site Internet du Figaro en date du 1e juin 2012. On connaissait déjà le baby blues de la femme qui vient d’accoucher : en latin, la dépression post partum. Chez l’homme elle viendrait après le rapport sexuel, selon l’adage latin qui dit que tout être vivant en ressort triste : omne animal post coïtum triste. Comme s’il comprenait avoir été dupé par ce que Schopenhauer, en sa Métaphysique de l’amour, appelle le « génie de l’espèce », se servant de lui comme d’une marionnette pour perpétuer la vie. La femme, elle, semble dans ce cas plutôt dopée que dupée. À chacun sa déprime, donc …
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