Le tribunal administratif de Melun a reconnu jeudi 19 juillet un « préjudice d’anxiété » à des enseignants du lycée Adolphe-Chérioux, à Vitry-sur-Seine, au motif que l’État ne leur a pas assuré une protection suffisante. L’établissement ne possédant pas de barrière, des éléments étrangers pouvaient s’y introduire, et y répandre la peur. D’où un climat d’insécurité permanente pesant sur les élèves et les professeurs, contraints de s’enfermer dans leurs salles de cours pour se mettre à l’abri de la violence environnante ...
Lire la suite dans :
Cliquer sur l'image
commenter cet article …